Histoires et photos prises des textes de la revue historique BELLEGARDE Vol 4 Les Services.
| Stories and photos taken from the Historical Magazine BELLEGARDE Vol 4 Services.
|
Durant les années 1920-1930, aucune machinerie lourde n'était disponible pour construire des routes. Il y avait peu de construction de route à l'époque sauf pour celles avec chavaux et charrette. Ceux-ci étaient d'environ six pieds de large, et se tenaient à une verge (1 mètre) du sol et se faisaient tirés par quatre chevaux. Il y avait une longue poignée qui se faisait légérement soulevée pour que la lame creuse dans le sol afin de remplir le seau. Quand le seau était plein, la charge était traînee jusqu'a l'endroit où de terre était nécessaire. Lorsque la poignée était soulevée complètement, la lame s'enforcait dans le sol et le seau se renversait pour vider la terre. Quand c'était vide, le seau glissait sur deux patins verticaux jusqu'a ce qu'il fût à nouveau à sa place pour le remplir. Ce système était utilisé principalement pour construire des pentes à travers des sloughs.
| From the 1920s to the 1930s, no heavy machinery was available for building roads. The small amount of road building was done with horses and scrapers. These looked very much like the buckets on today's front-end loaders. They were about six feet wide, they held about a yard of soil, and were pulled by four horses. As the horses went forward, a handle rose slightly so the blade would dig in the ground allowing the bucket to fill with earth. When it was full, the load was dragged to the spot where the soil was needed. When the handle was raised all the way up, the blade caught in the ground, tipping the bucket being slid on two vertical runners until it was lowered to fill again. This system was used maily to build grades across sloughs.
|
 |
1948 bombardier/ Skidoo |
|
|
 |
Transport des archives Wolensky |
|
|
 |
1941 Ovila Poirier Agricole |
|
|
Le sol devait se faire travaillé et adouci avant qu'il soit chargé. Il faillait quatre ou cinq de ces grattoirs pour constituer une équpie. L'homme qui dechargeait et qui montrait où décharger la terre s'appellait un surveillant. Arthur George a fait cette tâche pendant de nombreuses d'années. Les hommes qui travaillaient sur ces équipes se faisaient payés un montant par jour pour le travail qu'ils on fait, ainsi que le travail des quatre chevaux. Ils ne recevaient pas argent pour leur travail, mais le montant qu'ils ont obtenu était appliqué sur leurs impôts fonciers au lieu. C'est assez incroyable de imaginer le montant de travail qui s'est fait sur les routes avec ce système.
À la fin des années 1930, lorsque les tracteurs se sont améliorés et que les niveleurs plus lourds sont arrivés sur le marché, ils ont pris du sol des côtés de la route pour les construire plus hautes.
| The ground had to be plowed and softened for easier loading. It took four or five of these scalpers to make up a crew. The man in charge of dumping the loads and showing the crew where to unload was called an overseer. Arthur George did this job for many years. The men working on these crews were paid a certain amount per day for themselves, as well as for their four horses. They werent paid in cash, but the amount earned was applied to their land taxes. Its amazing how much road-work was done with this system.
In the late 1930s, when tractors improved and heavier graters came to the market, they brought soil from the sides of the roads to build them up.
|
Les archives George expliquent que Jules George était charpentier et que la plupart de ses contracts de travil était à quelque miles de sa maison.
Il dit: Je me souviens qu'il venait au magasin à Frys le samedi après le camion de d'essence. Il conduisant une Chevy de 1928 avec un réservoir de capacité de 8 gallons. Pour remplir le reservoir, ca lui prenait environ cinq ou six gallons au taux de trente cents le gallon Ceci lui coûtait un dollar cinquante pour durer la semaine.
| The George Archives explain how Jules George was a carpenter with contracts taking him only miles from his home.
He says: I remember he'd come to the store in Frys, Saturday after work, to pick up his mail and fill his car with gas. He drove a 1928 Chevy with a tank capacity of 8 gallons. To fill the tank, it took about five or six gallons at thirty cents per gallon. He paid about a dollar fifity for the week.
|
 |
1940 voiture/car |
|
| |
Une ou deux fois par automne, les trains arrivaient soit à Antler ou à Frys. Ces trains étaient remplis de fruits ou de légumes comme des pommes, des patates, du choux, des navets, des betteraves, des oignons, ansi que du poisson salé, que les plus privilégiés des autres provinces du pays partageaient.
Papa partait en wagon et nous étions ravi losqu'il revenait le soir avec sa part de belles pommes de la Colombie-Britannique, ou des légumes que l'ont mettaient dans un coin frais du sous-basement.
| On one or two occasions in the fall, trains came to Antler or Frys filled with fruits or vegetables like apples, potatoes, cabbages, turnips, beets, onions and also salted fish that the more fortunate ones of each provinces of the country shared amongst themselves.
Dad left in the wagon and we were filled with joy when he returned that night with his share of beautiful apples from British Columbia or with vegetables that we put in a cool corner of the basement.
|
|