Histoires et photos prises des textes de la revue historique BELLEGARDE Vol 4 Les Services.
| Stories and photos taken from the Historical Magazine BELLEGARDE Vol 4 Services.
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Mgr Jean Gaire raconte que le gazon devait être tourné pendant le printemps pour que ca soit pourrit pendant l'été. Durant automne, un deuxième labour plus profond devait se faire. La terre se trouvait ainsi prête pour les semmances du printemps.
Il mentionne aussi que les blés semés ici sont très précieux sur les marchés de New York et de Londres.
Pour répondre aux exigences de la Loi des Terres du Dominion, les terres étaient défrichées dès que possible. On faisait cela à l'aide d'une charrue à main tirée par des bouefs ou des chevaux.
Sans arbres à couper, il faillait seulement casser la terre. Mais, ils se retrouvaient parfois avec des terres rocheuses qui rendait la tâche difficile quand même.
| Msgr Jean Gaire shared that the grass was to be turned over in the spring so it could rot during the summer. A second deeper plow was passed in the fall to make sure the land was ready for seeding come spring.
He also mentioned that the wheats that were chosen became popular on New York and London markets.
To answer the requirements of the Homestead laws, land was broken as soon as possible. This was done with oxen or horses and hand-plows.
These lands didnt have trees to cut, which meant they only had to break the land. But some farmers found themselves with rocky land, which rendered the job challenging.
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Les premières récoltes / The first harvests |
Selon les Musées Virtuels de la Saskatchewan, lors de la première récolte en 1894, aucun colon de St Maurice n'était propriétaire d'une batteuse, donc les fermiers coupaient le grain, le liaient en gerbes et le placaient en meules pour qu'ils puissent être moulu.
Les pionniers sont allés à Virden pour leurs aider avec les batteuses et en retour ces pionniers sont venus à St Maurice. Ce n'est qu'au mois de décembre que des batteuse ont pu se rendre à St Maurice. Grâce à une température assez favorable, c'était possible de sauver cette récolte.
Tout le grain, devait être charroyé à la voie ferée la plus près qui était à Reston, 25 miles à l'est de St. Maurice.
| According to the Saskatchewan Virtual Museum, for the first crops of 1894, none of the pioneers owned a thresher so they cut the grain and tied it in sheaves so it could be milled.
Settlers headed to Virden to help wth the threshing there, then Virden settlers came to help them. They didnt arrive with the harvesting machines in St. Maurice until December. Thanks to favourable weather, it was possible to save the crop.
They hauled the grain to the nearest rail line, 25 miles to the east in Reston, Manitoba.
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La Grande Dépression / The Great Depression |
Selon Joseph George, les années qui suivent furent sèches avec des récoltes pitoyables. Pour compléter la mal chance, les prix étaient très bas. C'était l'ère qu'on surnomme La Grande Dépression. L'argent était presque inexistante. La majorité de l'agriculture était faite avec des chevaux car personne ne pouvait se permettre d'acheter de l'essence à 25 cent le gallon.
Travailler avec des chevaux, étant plus lent, voulait direque les fermier devaient être dans les champs à sept heure le matin. Afin que les chevaux soient nourris, arrosés et attelés pour sept heures, le fermier a du se revieller à cinq heure. Durant une journée chaude, ils devaint se reposer pour quelques minutes pendant le matin. Par le temps que l'après midi arrive, les chevaux devaient être ramenés à la grange pour manger et se faire arrosés. Le soir, les chevaux étaient de retour dans la grange pour leur nourriture, l'eau et pour se faire enlver les harnais. Tout ce travail pour labourer cinq ou six acres.
En 1937, la dépression était encore en plein essor. Les prix étaient toujours à la chûte. Le blé était à 25 cents par boisseau. L'avoine et l'orge étaient tombé à 8 ou 10 cents le boisseau et pour exiger, les rendements étaient médicores à cause de la sécheresse. Dans certains cas, une vache expédiée à Winnipeg ne couvrait même pas le prix de se rendre à Winnipeg.
| According to the Joseph George Archieves, the years that follow were very dry with poor crops. To top it off, prices were extremely low. This was the era we know as the Great Depression. Money was nearly nonexistent. Most farming was done with horses as people couldn't afford fuel at 25 cents per gallon.
Working with horses was much slower work and meant being in the field by seven in the morning. In order to have the animals fed, watered, and harnessed for seven AM, the farmer(s) had to be up by five AM. On a hot day, they would let the operation rest for a few minutes in the morning. This meant before noon, the horses were brought back to the barn to be fed, and watered. In the evening, it was back in the barn for feed, water and harness removal. All that work to plow five or six acres.
In 1937, the Depression was still in full swing. Prices were at an all time low. Wheat was 25 cents per bushel. Oats, barley were down to 8 to 10 cents per bushel and to make matters worse, field production was poor on account of droughts. In some cases, a cow shipped to Winnipeg didn't even cover freight costs.
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La crise économique / The economic crisis |
Selon les archives Bourgeois, la crise économique des années 1930 est accompagnée par la pire sécheresse que la Saskatchewan ait jamais connu. Il y a eu une année où le blé n'a rien donné. Ce furent des années de grande pauvreté.
En 1934, il y a eu un infestation de sauterelles. Elles pouvaient manger une champ de grain en quelques jours,. Quand les sauterelles se mettaient à voler, il y en avait tellement que ça faisait pres'que comme un nuage qui pouvait même bloquer le soleil.
Pendant une automne, n'ayant auncune nourriture pour les animaiux, une quinzaine de fermiers de la région partirent pour Spalding, Saskatchewan, environ 200 milles au nord de Regina. Ils avaient comme objectif de chercher de la paille pour les bêtes pour le temps d'hiver. Ils firent le trajet en camion et passèrent une nuit en chemin. Arrivés à leur destination, ils allaient d'un fermier à l'autre pour mettre en balle, à l'aide d'une machine. Ces balles furent ensuite envoyées par train. Ce fut un travail de 15 jours subventionné par le gouvernement.
| The economic crisis of the 1930s was accompanied by the worst drought ever known in Saskatchewan. There was a year of rust where the wheat brought in nothing. These were years of great poverty.
In 1934, there was also a grasshopper infestation. These pests could eat an entire field of grain within a few days. When the grasshoppers began to fly, there were so many that it made a cloud that almost blocked the sun.
One autumn, since there was no food for the animals, fifteen farmers from the region left for Spalding, Saskatchewan, around 200 miles north of Regina. The trip was made so the farmers could bale up some straw for their winter feed. They made the trip by truck and spent the night on their way there. Once they had arrived at their destination, they went from farmer to farmer asking for straw to make into bales with their machine. Those bales were then sent home by train. This work took 15 days and was subisdized by the government.
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